Homme des éclats et des scandales, Gustave Courbet s’est imposé comme le peintre de la rupture, foncièrement de son temps, brutalisant les codes de l’art par des œuvres manifestes et une démarche artistique inédite. Au-delà de ses œuvres monumentales, la collection du Musée Courbet permet d’approcher un autre Courbet, un Courbet intime profondément attaché à son milieu natal et à son territoire.
La collection permanente du Musée Courbet compte environ 400 œuvres dont une soixantaine de l’artiste.
La diversité de la collection permet d’aborder les multiples facettes de l’œuvre de Courbet.
Des œuvres de jeunesse (Le Pont de Nahin, 1837) à l’évocation des cercles dans lequel le peintre évolue (Portrait de Lydie Joliclerc, 1869 ; Portrait d’Urbain Cuénot, 1847), la collection du musée fait en sus la part belle aux thèmes privilégiés par Courbet comme la peinture animalière (Le Veau, 1873), les scènes de chasse (Le Renard pris au piège, 1860), les marines, auxquelles une salle entière est consacrée, ainsi que les incontournables paysages de Franche-Comté
La collection permanente du Musée Courbet compte environ 400 œuvres dont une soixantaine de l’artiste.
La diversité de la collection permet d’aborder les multiples facettes de l’œuvre de Courbet.
Des œuvres de jeunesse (Le Pont de Nahin, 1837) à l’évocation des cercles dans lequel le peintre évolue (Portrait de Lydie Joliclerc, 1869 ; Portrait d’Urbain Cuénot, 1847), la collection du musée fait en sus la part belle aux thèmes privilégiés par Courbet comme la peinture animalière (Le Veau, 1873), les scènes de chasse (Le Renard pris au piège, 1860), les marines, auxquelles une salle entière est consacrée, ainsi que les incontournables paysages de Franche-Comté