A découvrir avec le Museums-PASS-Musées - février 2022

« Aucun autre matériau ne possède autant de qualités que le bois » Joseph Stephan Wurmer a t'il coutume de dire du matériau qu’il sculpte et travaille avec passion depuis presque trente ans.

Conservée en réserves pour la préserver des altérations de la lumière notamment, cette collection, fragile par la nature de son support et de ses différentes techniques , comprend 4000 dessins et estampes du 17^e au début du 21^e siècle. 

Berne célèbre l’éminent artiste suisse Jean-Frédéric Schnyder avec un accrochage d’œuvres provenant de la collection du Kunstmuseum Bern et une exposition individuelle organisée par la Kunsthalle Bern.

Jeune graphiste de formation, René Myrha (né en 1939 à Delémont/Suisse) est confronté dans les années 60 à Paris et à Milan aux courants actuels de l'art et du design de son époque.

Alia Farid (* 1985) s'intéresse aux histoires coloniales, aux rituels culturels ainsi qu'aux aspects sociaux de l'architecture.

Ses vases, ses plateaux, ses gobelets et ses théières se distinguent par une profusion de couleurs et de motifs. Des pochoirs en papier et des rubans adhésifs sont collés, repeints puis retirés, couche après couche, jusqu’à ce qu’apparaisse une épaisse strate de motifs cumulés et superposés. 

Le musée ouvrira ses portes le 1^er février 2022 avec une nouvelle édition d’"Un amour de Lalique", sur le langage des fleurs. Créée autour de la Saint-Valentin, cette exposition permet de présenter les œuvres ou des photos d’objets sous un angle différent.

Les grandes villes de l’Occident sont le champ d'action du photographe Georg Glatzel. C’est là qu’il trouve matière à son art : des bâtiments, des intérieurs, des personnages, certains aspects de la vie en milieu urbain, régis par le rythme et les pulsations infatigables de la vie quotidienne.

À l’automne 2020 à Ulm, un vif débat national s’est engagé au sujet de la figurine représentant le roi mage noir qui, depuis 1992, était installée tous les ans dans la crèche de la cathédrale. Sculptée au milieu des années 1920 par le sculpteur d’Ulm Martin Scheible (1873-1954) sur commande d’une famille d’Ulm, cette figurine favorise les clichés racistes et les stéréotypes discriminatoires.

En coopération avec la Fondation Wüstenrot, la Staatsgalerie Stuttgart crée un nouvel espace pour la photographie à Stuttgart : The Gällery. Installé en permanence au rez-de-chaussée de l'Alte Staatsgalerie, ce lieu est dédié à la présentation du vaste fonds photographique de la collection, dont une grande partie n'a encore jamais pu être montrée au public.