À découvrir avec le Museums-PASS-Musées - septembre 2021

L’exposition réunit autour du Tableau de Cébès un choix d’œuvres réalisé par des étudiants et étudiantes de l’Institut d’histoire de l’art de l’université de Berne qui participent à un séminaire consacré à la recherche, la contextualisation, la présentation et la médiation autour de l’œuvre.

Le Musée Rehmann présente la rétrospective « Tout coule » à l’occasion du 100e anniversaire du sculpteur Erwin Rehmann (1921-2020). Les célébrations qui rendent hommage à sa création artistique coȉncident avec les 20 ans du Musée Rehmann. Depuis le début des années 1940, Erwin Rehmann n’a cessé de chercher des réponses matérielles et philosophiques au processus sculptural. 

Au risque de sa propre vie, Adélaïde Hautval a fait montre de fortes convictions et d’un sens élevé du devoir. Prise dans la tourmente totalitaire de la Seconde Guerre mondiale, elle choisit sans trembler de s’engager dans la voie du destin hors du commun d’une femme médecin en camp de concentration.

Quelle que soit la manière dont nous nous rêvons du paradis, un retour à un état paradisiaque primitif imaginaire, de quelque nature qu’il soit, est impossible. L’installation « Paradise Lost » de Bettina Bürkle et Klaus Illi s’appréhende comme une métaphore poétique de cette perte irrémédiable.

Otto Wyler (1887–1965) était un peintre, dessinateur et graphiste suisse. Fils de parents juifs, il a grandi à Aarau. Cette exposition au Musée Franz Gertsch est construite autour de plus de 80 tableaux réalisés entre les années 1900 et 1960. Elle donne l’occasion de redécouvrir ce peintre avec sa perception très personnelle des courants artistiques de son temps. Les portraits, les nus, les natures mortes et les paysages ainsi que les scènes de voyages au Maroc et en France en donnent un aperçu complet au visiteur.

Originaire de Nancy, la famille Adam est la plus grande dynastie de sculpteurs français du XVIII^e siècle. Sur trois générations, ses membres déploient leurs talents auprès des plus grands mécènes et participent à plusieurs chantiers majeurs. 

L’exposition présentera des œuvres de femmes artistes dont l’œuvre occupe une position éminente dans l’histoire de l’art moderne depuis 1870 jusqu’à aujourd’hui. C’est l’époque où, pour la première fois, il devint possible à des femmes en Europe et en Amérique de développer une activité artistique professionnelle sur une large base. 

Ses œuvres, qui traitent de profonds sujets concernant la société, se caractérisent par une expressivité ironique, complexe et kaléidoscopique ainsi que par une maîtrise magistrale des techniques classiques de la peinture. 

Des gravures sur verre à l’acide fluorhydrique très toxique, des impressions sur cuir et sur soie, des plaques d’impression en porcelaine ou en stéatite : voilà le produit de nombreuses nuits de travail qui ont vu Max Slevogt expérimenter diverses techniques de la gravure. Vers 1920, Slevogt fit équipe avec des artistes comme Bernhard Pankok et Emil Orlik ainsi qu’avec son ami de toujours le Dr. Josef Grünberg pour fonder une association artistique baptisée « SPOG ».