Enfin : les portes s'ouvrent à nouveau !

Cette exposition propose 140 œuvres et documents provenant de collections particulières et d’institutions. Dessins originaux publiés et pages de leurs publications alternent avec des dessins restés inédits en un parcours qui démarre avec Hara-Kiri, apparu en 1960, et se termine avec L’Imbécile de Paris, disparu en 2003.

Andreas Steinemann, né en 1957, est un céramiste connu pour ses magnifiques vases en porcelaine créés au moyen de la technique nériage et dont les travaux ont été primés à l’étranger. Avec ses coupes rondes en 2008, il s’est éloigné des créations traditionnelles et a commencé à se consacrer aux petites séries, artistiquement plus exigeantes.

À l’aide de maquettes et de plans, l’exposition présente des projets d’urbanisme jusqu’ici peu connus, imaginés au XX^e siècle pour Bâle, qui n’ont pas été réalisés, et elle les place dans le contexte actuel. 

Anne Janoschka est sur la trace de ces histoires et images. Dans sa peinture actuelle elle attire le regard sur les choses de tous les jours, elle les libère d'une manière douce et discrète du voile de la routine. Elle fait de la place aux choses pour que nous puissions les regarder tranquillement. 

Pour la saison 2021, l’objectif est de transformer les jardins éphémères du festival actuel en des « jardins en mouvement » dans l’esprit de Gilles Clément, où l’homme observe, contemple et accompagne.

Toute l’écosphère, les océans, l’air, nos aliments, le sol et jusqu’à l’Antarctique contiennent des restes, particules et produits chimiques provenant de notre univers de marchandises et de consommation. L’extraction des matières premières laisse derrière elle des paysages dévastés et des déchets toxiques. Le Waste est partout.

De 1970 à 1978, la modéliste Monika Erben a vécu avec sa famille à Singapour où elle a commencé à dessiner des vêtements de mode pour enfants pour sa petite fille. Après ces débuts de nature purement privée, elle a créé plusieurs collections qui ont été le coup d’envoi pour d’autres projets. 

À travers ces prix récompensant l’art numérique, l'Art Foundation Pax honore et promeut, en collaboration avec la HeK, les œuvres spécifiquement liées aux médias d’artistes suisses qui s’appuient sur les technologies des médias ou mettent en évidence leurs répercussions.

Blum examine les relations entre les sphères socio-politique et psychologique privée à travers le prisme de nos structures sociales et elle dévoile leurs conséquences sur nous en tant qu’individus. Il s’agit de sa première exposition en Suisse.

Les figures de bronze d’Alberto Giacometti, les machines cinétiques de Jean Tinguely, les installations vidéos de Pipilotti Rist : telle est la diversité de la création plastique des 75 dernières années en Suisse. Les sujets, les matériaux et les techniques ont évolué au cours des décennies au point de faire naître une nouvelle définition de la sculpture.

L’exposition temporaire est consacrée à l’activité déployée dans des foires. Elle montre, grâce au choix des pièces exposées, les utilisations diverses de l’orgue de Barbarie : comme instrument soliste, pour accompagner d’autres instruments ou pour accompagner une voix chantée, dans un contexte où l’on voulait se divertir, prendre du plaisir et s’amuser.

Toni Schneiders (1920-2006) compte parmi les photographes qui ont le plus marqué leur époque après 1945. Avec ses compagnons du groupe «fotoform» et en tant que membre du mouvement avant-gardiste «photographie subjective», il a développé de manière décisive le langage visuel de la photographie moderne.

Au détour des collines des Vosges du Nord, on aperçoit la silhouette monumentale de la citadelle de Bitche. Vauban et Cormontaigne ont été les plus célèbres concepteurs de cette œuvre de fortification dont les origines remontent au 12^ème siècle. Si elle présente toutes les caractéristiques de l’architecture militaire des 17^ème et 18^ème siècles, cette forteresse peut s’enorgueillir de singulières particularités. 

Victor Schœlcher, ancien sous-secrétaire d’État aux colonies du gouvernement provisoire fit voter le décret d’abolition définitive de l’esclavage le 27 avril 1848. Humaniste éclectique, partisan de l’abolition de la peine de mort, défenseur de la cause des femmes et des droits de l’enfant, Victor Schœlcher repose au Panthéon à Paris, avec son père Marc, natif de Fessenheim.

Avec plus de 18 300 oeuvres, la collection Würth est l’une des plus grandes collections privées d’Allemagne. Le nouveau musée Würth 2 d’art moderne et contemporain vient d’ouvrir ses portes dans le forum Carmen Würth à Künzelsau, une oeuvre de David Chipperfield Architects. L’exposition «Weitblick» présente les oeuvres majeures de la collection : des classiques comme Beckmann, Picasso, Kirchner, des oeuvres de Baselitz, Hockney, Kapoor et bien d’autres. Les positions de Caro, Gormley et de Saint Phalle sont affichées dans le vaste parc de sculptures.

Un parcours interactif avec une invitation à toucher, à expérimenter et à écouter pour comprendre la surprenante mécanique du « roi des instruments ». La visite se poursuit dans Organum XXI : un instrument pédagogique où les différentes composantes de l’orgue sont dissociées pour vous dévoiler la magie de son fonctionnement. Un système de LED accompagné d’éléments manipulables fait du visiteur un acteur dans cette rencontre avec l’instrument. Ce lieu insolite est le cadre des nombreux événements culturels et d’exposi tions temporaires.

Œuvre de l’architecte Henri Sauvage, construite vers 1901-1902 pour Louis Majorelle, la villa est une maison emblématique de l’Art nouveau. Elle témoigne d’une parfaite unité entre architecture et décor ainsi que de la collaboration étroite d’artistes parisiens et nancéiens, tels Jacques Gruber pour les vitraux, Alexandre Bigot pour les éléments en grès, sans oublier Louis Majorelle qui a conçu les ferronneries, les boiseries et le mobilier.

Le Musée d’histoire de la ville, avec ses archives historiques jointes, documente l’histoire de la ville depuis ses débuts jusqu’à l’époque moderne. Fondée vers 1175 par Berthold IV de Zähringen, la ville s’est rapidement développée pour devenir un centre économique important grâce à sa situation stratégique sur le Rhin.

Inauguré en 1990, le musée est l’un des plus importants musées d’art du côté allemand du lac de Constance. Le musée se focalise sur l’art moderne classique et contemporain de la région du lac de Constance et du sud-ouest de l’Allemagne. Sur 1000m2 et deux étages, le musée présente chaque année quatre à six collections et expositions spéciales. De préférence pendant les mois d’été, le musée présente une sélection de sa collection d’histoire de l’art des «artistes de Höri» avec des oeuvres d’Otto Dix, Erich Heckel, Max Ackermann et bien d’autres.

La Hochschule für Gestaltung (HfG), fondée en 1953 par Inge Scholl, Otl Aicher et Max Bill, a écrit l’histoire internationale du design jusqu’à sa fin précoce en 1968. À ce jour, les réalisations de cette institution sont d’une importance fondamentale pour l’éducation et le travail des designers et des stylistes ainsi que pour la recherche dans le monde entier. Avec l’exposition «De l’heure zéro à 1968» ainsi que des expositions spéciales, l’histoire mouvementée de la HfG peut être vécue sur le lieu d’origine.

Le Musée d’Ulm est un musée universel unique d’art et d’histoire culturelle. L’accent est mis sur l’art médiéval, avec une collection exceptionnelle de peintures et de sculptures du gothique tardif. Avec la Fondation de la Collection Kurt Fried, elle présente les plus importants mouvements artistiques des États-Unis et de l’Europe du XXe siècle. Le point fort de la collection archéologique est «l’Homme Lion» de la grotte de Stadel, site du patrimoine mondial de l’UNESCO, l’une des plus anciennes sculptures figuratives du monde.

En 50 ans, l’entrepreneur Siegfried Weishaupt et son épouse Jutta ont constitué une collection d’art moderne et contemporain de premier ordre, qui est accessible au public depuis novembre 2007 dans un musée privé nouvellement construit. La collection comprend des oeuvres d’expressionnistes abstraits – dont Mark Rothko – ainsi que des oeuvres de l’artiste pop américain Warhol ou Lichtenstein. Josef Albers ou Max Bill, en tant que représentants de l’art concret, sont juxtaposés à ceux-ci du côté européen.

L’exposition au Museum Brot und Kunst se compose de deux parties. D’une part, il y a l’art et, d’autre part, des thèmes liés au pain, à la vie quotidienne, à la nutrition et à la consommation. Les deux parties traitent des dimensions culturelles : Sur la compréhension et l’interprétation du monde qui nous entoure, et sur les espaces entre les «tiroirs» de la perception collective. Les deux parties se répondent l’une l’autre. C’est ce qui rend ce musée si particulier.

Ancré au cœur du champ de bataille, le Mémorial de Verdun est un lieu majeur d’Histoire et de Mémoire.Sur les lieux des combats, dans un parcours de visite pédagogique et empreint d’émotions, le musée propose une immersion dans la bataille de Verdun à travers la figure du combattant, français ou allemand.