Deux mondes dans lesquels se perdre - celui de l'art et celui des textiles réels - sont proposés au public dans l'exposition comme une stimulation sensorielle et intellectuelle.
La présentation associe des aperçus des travaux récents de la peintre berlinoise Ágnes Lörincz, inspirés par la fascination de l'art textile, et des objets précieux issus de la vaste collection de textiles du Musée de Transylvanie.
Au-delà du thème commun, ce qui les relie encore, c'est l'espace culturel de la Transylvanie, auquel appartiennent aussi bien l'artiste que les nombreux témoignages de savoir-faire artisanal et technique, de par leur origine commune, sicule ou saxonne.
L'exposition sensibilise les sens des spectateurs dans les deux sens : D'une part, elle attire le regard sur l'interpénétration des formes figuratives et abstraites-géométriques dans la structure filigrane des travaux manuels les plus divers de différentes époques.
D'autre part, elle attire l'attention sur l'art mimétique d'Ágnes Lörincz, qui crée de nouveaux niveaux de représentation grâce à une technique de sérigraphie inhabituelle.
La présentation associe des aperçus des travaux récents de la peintre berlinoise Ágnes Lörincz, inspirés par la fascination de l'art textile, et des objets précieux issus de la vaste collection de textiles du Musée de Transylvanie.
Au-delà du thème commun, ce qui les relie encore, c'est l'espace culturel de la Transylvanie, auquel appartiennent aussi bien l'artiste que les nombreux témoignages de savoir-faire artisanal et technique, de par leur origine commune, sicule ou saxonne.
L'exposition sensibilise les sens des spectateurs dans les deux sens : D'une part, elle attire le regard sur l'interpénétration des formes figuratives et abstraites-géométriques dans la structure filigrane des travaux manuels les plus divers de différentes époques.
D'autre part, elle attire l'attention sur l'art mimétique d'Ágnes Lörincz, qui crée de nouveaux niveaux de représentation grâce à une technique de sérigraphie inhabituelle.